À propos de nous

Pendant plus de 120 ans, la Société pour la protection des animaux a travaillé à la protection des animaux. Elle a fait la promotion du bien-être des animaux, encouragé les soins et la compassion, et tout mis en œuvre pour prévenir la cruauté, les mauvais traitements et l’abandon des animaux. La SPCA est un organisme de bienfaisance privé constitué en société au Nouveau-Brunswick (Canada).

À propos de nous

Pendant plus de 120 ans, la Société pour la protection des animaux a travaillé à la protection des animaux. Elle a fait la promotion du bien-être des animaux, encouragé les soins et la compassion, et tout mis en œuvre pour prévenir la cruauté, les mauvais traitements et l’abandon des animaux. La SPCA est un organisme de bienfaisance privé constitué en société au Nouveau-Brunswick (Canada).

Qui nous sommes

Histoire

FAQ

Qui nous sommes

Les membres du public confondent souvent la SPCANB avec les refuges locaux de la SPCA. La SPCANB est l’organisme-cadre du mouvement de la protection des animaux dans la province. Elle encourage (et doit autoriser) la création de filiales de la SPCA, qui sont actuellement au nombre de 11. Toutes ces filiales municipales et régionales de la SPCA accueillent les animaux dans un refuge où on leur offre des soins en attendant qu’ils soient adoptés. La SPCANB n’exploite pas de refuges pour animaux et n’offre pas de services d’adoption. Les filiales sont représentées au conseil d’administration de la SPCANB avec qui elles collaborent, mais autrement, elles sont largement indépendantes de l’organisme provincial. (Pour obtenir une liste des refuges et filiales de la SPCANB, se reporter à la section Refuges.) Le rôle principal de la SPCANB est cependant de fournir des services de protection des animaux pour l’ensemble de la province du Nouveau-Brunswick, y compris tous les animaux de compagnie ainsi que les animaux de la ferme (y compris le bétail), tel que le prescrit la Loi sur la Société protectrice des animaux du N.-B. La SPCANB est aussi largement responsable de la sensibilisation du public pour ce qui est du traitement humanitaire des animaux et de la défense de leurs intérêts.
La SPCANB détient un contrat pour fournir des services de contrôle des chiens dans les communautés rurales du Nouveau-Brunswick. Pour le compte de la province du Nouveau-Brunswick, elle effectue des inspections des établissements d’hébergement des animaux familiers aux fins de l’attribution de licences. Elle se voit aussi attribuer des contrats indépendants pour des services de contrôle des chiens dans d’autres petits villages et villes de la province.
Le bureau principal de la SPCANB est situé à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, et compte deux employés à temps plein pour gérer toutes les fonctions opérationnelles (un directeur général et un gestionnaire de bureau) et deux employés à temps plein chargés de veiller à l’application de la loi (un agent principal de la protection des animaux et un adjoint de la protection animale). De plus, il y a actuellement neuf agents de protection des animaux à temps plein dans toute la province, ainsi que plusieurs agents de protection des animaux à temps partiel ou à contrat et des agents de contrôle des chiens, qui travaillent tous à distance.
L’organisme est supervisé par un conseil d’administration provincial composé d’un président, d’un vice-président, d’un trésorier, d’un secrétaire, de membres à titre particulier élus à l’assemblée générale annuelle et de représentants de chacun des 11 refuges.

Ce que nous faisons:

Signalez les cas de cruauté ou de mauvais traitements:

Composez le numéro sans frais de la SPCANB de n’importe où dans la province :
1-877-722-1522

  • 24 heures sur 24, sept jours par semaine.
  • Nos téléphonistes sont tous bilingues.
  • Les rapports font l’objet d’enquêtes menées par les agents de protection des animaux (APA) de la Société, qui aident également la police municipale et la GRC pour les questions liées aux animaux. En vertu de la Loi sur la Société protectrice des animaux du Nouveau-Brunswick, les APA ont le pouvoir de saisir des animaux, de mener des enquêtes (en collaboration avec d’autres organismes d’application de la loi et le Bureau du procureur de la Couronne) et de porter des accusations en vertu de la Loi sur la Société protectrice des animaux et du Code criminel du Canada.

    Octroi des licences et inspection:

    Par les pouvoirs qui lui sont conférés par la loi provinciale, la SPCANB est aussi responsable de l’inspection obligatoire et de l’octroi de licences aux « établissements hébergeant des animaux familiers », y compris les chenils qui font l’élevage de chiens.

    Note : La SPCANB n’a cependant aucune autorité sur la faune.

    Contrôle des chiens :

    La SPCANB assure le contrôle des chiens dans les secteurs ruraux et non constitués en municipalités de la province et dans les districts de services locaux. Les agents de contrôle des chiens en milieu rural de la SPCANB tirent leur autorité de la Loi sur la gouvernance locale du Nouveau-Brunswick.

    Les plaintes concernant les chiens errants ou les chiens qui dérangent dans les secteurs non constitués en municipalités doivent être adressées par téléphone au 1-877-722-1522. Consultez la section Contrôle des chiens en milieu rural pour en savoir plus sur les règlements relatifs au contrôle des chiens, sur la façon d’acheter des médailles d’identité ou sur ce qu’il faut faire si vous avez perdu un chien et pensez qu’il a pu être ramassé par un agent de contrôle rural. Notez que le service de contrôle des animaux en milieu rural ne couvre que les chiens, et non les chats ni d’autres animaux.

    Sensibilisation et défense des intérêts:

    La SPCANB fait également la promotion de la sensibilisation au traitement humanitaire des animaux, défend les intérêts de tous les animaux, milite pour renforcer les lois de protection des animaux et collabore avec les organismes gouvernementaux et d’autres groupes de protection des animaux dans la province et partout au Canada. Nous sommes membres de Humane Canada.

    Histoire de la SPCANB

    La SPCANB a été constituée en corporation par une loi adoptée par l’Assemblée législative provinciale en 1881 à la demande de quinze citoyens de la ville de Saint John.

    L’une des premières mesures publiques de la nouvelle Société fut de commander en 1882 la construction d’une fontaine-abreuvoir pour les chevaux. La fontaine existe d’ailleurs toujours dans le centre-ville de Saint John, au Nouveau-Brunswick. Comme cette mesure le laisse entendre, la principale préoccupation des premières SPCA visait surtout à contrer les mauvais traitements des chevaux. Au fil des ans, on a cessé d’utiliser les chevaux pour les travaux et le transport si bien que la SPCA moderne a surtout concentré ses efforts sur la protection des animaux de compagnie. Le mouvement en faveur de la création de refuges pour animaux (surtout pour les animaux de compagnie) a également suivi ce changement d’orientation. Toutefois, le bien-être du bétail et sa protection continuent d’être des priorités pour la plupart des SPCA.

    En 1911, on a modifié la loi provinciale pour changer le nom de la Société à la « New Brunswick Society for the Prevention of Cruelty » (société pour la prévention de la cruauté au Nouveau-Brunswick) et pour élargir son mandat afin d’y inclure la protection des femmes et des enfants. Ce n’est qu’en 1958 que le nom et la mission de l’organisme ont été modifiés de nouveau pour cibler exclusivement la protection des animaux.

    En 1961, le sénateur Frederic A. McGrand de Saint John, président de la SPCANB à l’époque, a nommé Brian Davies, d’Oromocto, inspecteur à temps partiel. En 1965, M. Davies est devenu secrétaire général de la SPCANB, le premier employé à temps plein de l’organisation.

    Le départ de M. Davies vers la fin des années 1970 a provoqué une crise financière au sein de la SPCANB. Même si la SPCANB a réussi à maintenir une petite équipe d’inspecteurs à temps partiel, sa situation financière est demeurée précaire pendant les années 1980. Les SPCA locales les plus importantes ont assumé plusieurs responsabilités en matière de protection des animaux, tandis qu le bureau provincial était relativement inactif.

    Pendant les années 1990, le gouvernement provincial a renouvelé son intérêt dans la SPCANB et les questions de protection des animaux. En 1996, le gouvernement libéral de Frank McKenna a mis sur pied un groupe de travail pour étudier ces questions. À la suite des recommandations faites par le groupe de travail, l’Assemblée législative a adopté, en 1997, des modifications à la loi. Celles-ci ont permis de moderniser le contenu de la loi, de créer un système d’agents de protection des animaux (APA) approuvés par le gouvernement (qui a remplacé l’ancien système d’inspecteurs), d’accorder aux APA les pouvoirs d’un agent de la paix et d’accorder au gouvernement de plus grands pouvoirs relativement au fonctionnement de la SPCANB.

    Après l’an 2000, sous la direction de l’agent principal de protection des animaux, Paul Melanson, les APA se sont rapidement professionnalisés, même si la plupart d’entre eux sont demeurés des agents à temps partiel. Grâce à leurs nouveaux pouvoirs juridiques, ils ont effectué un certain nombre de saisies dans de grandes usines à chiots, ce qui a permis d’augmenter la sensibilisation du public à l’égard de la SPCANB.

    En 2009, la SPCANB a obtenu le contrat pour les services de contrôle des chiens en milieu rural, services qui étaient auparavant assurés directement par le gouvernement provincial. En 2010, après avoir exercé des pressions sur le gouvernement pendant de nombreuses années, la SPCANB a convaincu celui-ci d’adopter une nouvelle loi sur l’inspection obligatoire d’établissements hébergeant des animaux familiers, y compris les chenils, et la délivrance de licences à ces établissements. En 2010, la SPCANB a créé une nouvelle ligne provinciale sans frais pour aider le public à signaler les cas de cruauté et de maltraitance. En 2012, après une décennie de croissance et de changement, le fonctionnement et la stabilité de la SPCANB ont atteint un niveau semblable à ceux des SPCA dans d’autres petites provinces canadiennes.

    FAQ

    Je désire adopter un animal ou confier mon animal de compagnie à un refuge; comment puis-je trouver un refuge de la SPCANB?

    La SPCA du Nouveau-Brunswick n’administre aucun refuge pour animaux et ne gère pas les adoptions d’animaux, mais la plupart des SPCA régionales et municipales le font. Cliquez ici pour consulter une liste des refuges pour animaux de la SPCA dans la province.

    Le chien de mon voisin jappe constamment et cela me dérange ainsi que tous les voisins de mon quartier. Pouvez-vous m’aider?
    Si vous habitez dans un district de services locaux ou une région rurale où la SPCANB est responsable des chiens errants et des chiens qui dérangent, vous pouvez composer notre numéro sans frais 1-877-722-1522. Un agent de contrôle des chiens de la SPCANB mènera une enquête.

    Si vous habitez dans un village ou une ville qui a ses propres règlements et agents de contrôle des chiens, vous devez communiquer avec le bureau municipal ou l’agent responsable.

    Si vous n’est pas certain avec qui communiquer, vous pouvez composer notre numéro sans frais, 1-877-722-1522, et le téléphoniste pourra vous aider.

    Il y a un chat errant dans ma cour. Est-ce que la SPCANB viendra le chercher si je compose le numéro sans frais?
    La SPCANB n’ira pas chercher des chats errants à moins qu’ils soient blessés, en danger immédiat ou victimes de mauvais traitements. Vous devez essayer de trouver le propriétaire de l’animal ou appeler le refuge pour animaux le plus près pour demander si vous pouvez le confier aux soins du refuge. Mais n’oubliez pas que des chats ayant un bon foyer peuvent parfois errer pendant de longues périodes et avoir l’air d’être sans foyer. La SPCANB n’est pas non plus en mesure de s’occuper des colonies de chats qui sont retournés à l’état sauvage. Cependant, dans certains cas, l’organisation Ca-r-ma (Cat-Rescue-Maritimes) peut vous aider.

    Voir les coordonnées ici.

    Le chien de mon voisin est continuellement attaché dans sa cour. Je trouve cela cruel. Qu’est-ce que la SPCANB peut faire pour ce chien?
    Le fait d’attacher les chiens pendant une longue période augmente leur niveau de stress, leur désir de protection de leur territoire et leur vulnérabilité, ainsi que leur potentiel d’agressivité. Il n’est cependant pas illégal d’attacher un chien à l’extérieur, et la SPCANB n’est pas autorisée à intervenir dans de telles situations. À l’heure actuelle la Loi sur la Société protectrice des animaux (Loi sur la SPCA) interdit d’attacher les chiens à l’extérieur la nuit dans toute la province.

    Il est interdit d’attacher les chiens à l’extérieur pendant plus de 30 minutes entre 23 h et 6 h du matin à moins que le propriétaire ou une personne responsable se trouve aussi à l’extérieur à une distance de moins de 25 mètres du chien.

    L’amende prévue pour la non-conformité est d’au moins 140 $. Cette restriction garantit que les chiens ne seront pas attachés à l’extérieur 24 heures sur 24.

    Je suis outré que des animaux soient souvent exploités et exposés à des niveaux élevés de stress lors de spectacles publics au Nouveau-Brunswick. Pourquoi est-ce que la SPCANB ne peut intervenir pour prévenir ce genre de chose?
    La question de l’utilisation acceptable d’animaux lors de spectacles publics est controversée. Les attitudes de la société changent constamment. Des spectacles acceptables dans le passé, p. ex. les combats de chiens et de coqs, sont maintenant illégaux. Les concours de halage par chevaux, les cirques et les courses de cochons graissés sont tous des activités controversées au Nouveau-Brunswick maintenant. Certains ont également critiqué la chasse en enclos, les zoos apprivoisés, les courses de chevaux et les expositions canines. Aucune de ces activités n’est illégale selon les lois actuellement en vigueur (même si les concours de halage par chevaux sont réglementés), et la SPCANB n’est pas autorisée à les interdire. Cependant, des agents de protection des animaux sont souvent présents lors de concours de halage par chevaux, de cirques et de courses de cochons graissés pour veiller à ce qu’aucun animal ne soit blessé et que l’on respecte les normes actuelles en matière de soins.
    J’ai récemment téléphoné à la SPCANB pour signaler un cas de négligence. La situation ne s’est pas améliorée. Est-ce que l’agent de protection des animaux me rappellera pour me dire ce qui s’est passé?
    Les politiques de la SPCANB exigent que les agents de protection des animaux communiquent avec les plaignants, si ceux-ci le demandent, pour les informer des résultats de leur enquête. Si plus d’une semaine s’est écoulée et que vous n’avez pas reçu de nouvelles de l’APA, veuillez composer le numéro sans frais de nouveau et demander une mise à jour. N’oubliez pas que, selon la loi, les APA doivent respecter les droits des individus faisant l’objet d’une enquête et ils ne pourront pas nécessairement vous fournir tous les renseignements qu’ils ont obtenus. Ils font également face à des situations où ils ne sont pas autorisés à intervenir.
    J’appuie le travail de la SPCANB et j’aimerais inviter quelqu’un à venir faire une présentation devant ma classe (ou des membres de mon église ou de mon club philanthropique). Est-ce possible?

    Nous sommes toujours heureux de faire des présentations devant des classes ou d’autres groupes. Plus particulièrement, nos agents de protection des animaux font souvent des exposés à des classes dans le cadre de notre campagne de prévention des morsures de chien. Communiquez avec notre bureau administratif au (506) 458-8208 ou envoyez-nous un courriel à spca@nbnet.nb.ca.

    Il y a un raton laveur malade (ou un chevreuil blessé) dans ma cour. Qui dois-je appeler?
    La loi provinciale n’autorise pas les agents de la SPCANB à intervenir dans les cas d’animaux sauvages (à moins qu’ils soient tenus en captivité). Veuillez plutôt communiquer avec le ministère des Ressources naturelles. Le numéro se trouve ici.
    J’ai perdu mon chien ou mon chat. Est-ce qu’un agent de la SPCA l’a recueilli? Que puis-je faire pour le retrouver?
    Si vous avez laissé votre chien quitter votre propriété, il est possible qu’il ait été ramassé par un agent de contrôle des chiens de la SPCANB, si vous habitez en région rurale, ou par un agent de contrôle des chiens de votre municipalité (non affilié à la SPCANB) si vous habitez en ville.

    Consultez la section Contrôle des chiens dans les régions rurales pour obtenir des conseils, et consultez notre page Facebook.
    Communiquez également avec votre municipalité, votre agent de contrôle des chiens ou le refuge pour animaux le plus proche. Il faut agir rapidement, surtout si votre chien ne porte pas de médaille d’identité. Selon la plupart des règlements concernant les chiens errants, vous perdez possession de votre animal après seulement quelques jours si personne ne vient le chercher.

    Rappelez-vous: que vous aurez peut-être à payer une amende et à acquitter des frais d’hébergement lorsque vous irez chercher votre chien à la fourrière.

    Si vous avez perdu votre chat,communiquez avec le refuge pour animaux de votre région, affichez des avis et faites publier des annonces dans les médias locaux. Les chats sont curieux et peuvent se faire enfermer dans des bâtiments extérieurs comme des garages ou des remises. Demandez à vos voisins de vérifier dans leur garage et leur hangar. Les travailleurs municipaux auront peut-être des renseignements sur les chats heurtés par des véhicules. Dans certaines villes, il est illégal de laisser les chats errer hors de la propriété. Dans ces situations, il est possible que votre chat ait été ramassé par l’agent de contrôle des animaux.

    Communiquez avec l’agent ou la fourrière de votre municipalité.

    Qu’est-ce qu’un établissement hébergeant des animaux familiers? Suis-je considéré comme propriétaire d’un tel établissement? Cela signifie-t-il que mon établissement doit être inspecté et doté d’une licence?
    Aux termes de la Loi sur la Société protectrice des animaux du Nouveau-Brunswick, un « établissement hébergeant des animaux familiers » s’entend d’un refuge ou d’un abri, d’une animalerie ou d’un chenil. Un chenil est défini comme un établissement destiné à l’élevage des chiens en vue de la vente ou hébergés contre rétribution.

    Tous les établissements hébergeant des animaux familiers dans ces trois catégories doivent être inspectés, et les exploitants doivent obtenir une licence auprès de la SPCANB. Voyez à la section Licence pour établissements hébergeant des animaux familiers.. Les toiletteurs pour animaux familiers, les cliniques vétérinaires, les lieux hébergeant du bétail et les écuries sont parmi les établissements qui sont exempts des règlements sur les établissements hébergeant des animaux familiers.

    Mes amis et moi voulons établir une SPCA dans notre région afin de pouvoir bâtir un jour un refuge. Qu’est-ce qu’il faut faire? Est-ce que la SPCANB peut nous aider?

    Si vous voulez que votre organisation s’appelle « SPCA », vous devez faire une demande auprès de la SPCA du Nouveau-Brunswick pour que votre organisation soit reconnue comme une filiale officielle. Nous demanderons d’examiner les règlements de votre organisation et nous aurons aussi besoin d’autres renseignements.

    Une fois reconnue comme filiale officielle, votre organisation sera membre permanent du conseil d’administration de la SPCANB et aura droit de vote aux réunions du conseil. Votre organisation aura également d’autres droits ainsi que des responsabilités envers la SPCANB.

    Nous serons heureux de vous fournir d’autres renseignements sur la création d’une filiale, et les filiales existantes pourront vous aider aussi. Communiquez avec nous au (506) 458-8208 ou à spca@nbnet.nb.ca.

    Je veux appuyer la SPCA en faisant du bénévolat. Qu’est-ce que je peux faire pour aider?
    La SPCANB a besoin de bénévoles pour siéger à ses comités et aider lors des activités de financement et de sensibilisation. Contrairement aux SPCA locales et aux refuges pour animaux, nous ne pouvons pas offrir aux bénévoles beaucoup de possibilités pour travailler directement avec des animaux.

    Pour de plus amples renseignements, communiquez avec notre bureau au (506) 458-8208.

    Est-ce que la SPCANB est bilingue? Puis-je recevoir des services en français ou en anglais?
    The operators who answer calls to our hotline numberLes téléphonistes qui répondent aux appels à notre numéro sans frais (1-877-722-1522) sont bilingues. Dans les régions francophones de la province, nous faisons notre possible pour faire en sorte que des agents bilingues enquêtent sur les plaintes et effectuent les inspections des établissements hébergeant des animaux familiers. Nous essayons également de fournir tous les documents dans les deux langues officielles.
    D’après ce que je peux voir, la SPCANB s’occupe principalement d’enjeux touchant les chats, les chiens, les chevaux et les vaches. Qu’est-ce qu’elle fait relativement à d’autres enjeux importants concernant les intérêts des animaux, p. ex. l’utilisation d’animaux en recherche, l’élevage intensif des animaux de ferme, les pièges à ressort, l’abattage humanitaire des animaux et la protection des espèces en voie de disparition?
    La SPCANB concentre ses efforts sur l’application des lois existantes et les questions de protection des animaux qui se présentent régulièrement au Nouveau-Brunswick. Nous contribuons aux débats nationaux sur les plus grandes questions de traitement humanitaire par notre adhésion et notre soutien à Humane Canada.
    Puis-je travailler pour la SPCANB? Engagez-vous des agents de protection des animaux ou des agents de contrôle des chiens? Comment puis-je soumettre une demande d’emploi?
    Si vous êtes intéressé à travailler pour la SPCANB, envoyez votre curriculum vitæ et une lettre d’accompagnement au bureau administratif de la SPCANB à Fredericton, à l’attention de l’agent principal de protection des animaux. Nous conserverons votre demande au cas où un poste se libère dans votre région. L’expérience de l’application de la loi ou de la prestation de soins aux animaux est un atout. Les candidats devraient également posséder les compétences interpersonnelles nécessaires pour composer avec des situations conflictuelles.

    "Les yeux d'un animal ont le pouvoir de parler un merveilleux langage."

    - Martin Buber